Au coin de la rue, à esquina da rua
Publié le 21 Octobre 2009
Dormir, doucement,
s'enfouir dans le corps de l'amant,
on en rêve, on le vit, on en crève.
Pleurer, doucement,
à cause de lui, se mêler à la pluie,
et au vent.
Se souvenir du temps,
où l'on s'émerveillait du tout venant,
où nos jours regardaient le firmament.
Mes doigts sont transis,
Ma main est raidie,
Sur la lettre que je t'écris.
J'entends le chant d'un au-delà,
ta voix me guide dans l'à-venir,
je perçois un autre ciel là-bas.
Rien ne me fait plus peur,
ni maladie, ni amoureux, ni mort,
tout me semble possible, ma soeur.
Mourir n'est rien désormais,
vivre est compliqué mais...
vivre n'est plus qu'un délai.
Texte (c) Luciamel.
j'essaierai de vous traduire tout ça prochainement... en attendant je vous laisse apprécier le genre musical...
s'enfouir dans le corps de l'amant,
on en rêve, on le vit, on en crève.
Pleurer, doucement,
à cause de lui, se mêler à la pluie,
et au vent.
Se souvenir du temps,
où l'on s'émerveillait du tout venant,
où nos jours regardaient le firmament.
Mes doigts sont transis,
Ma main est raidie,
Sur la lettre que je t'écris.
J'entends le chant d'un au-delà,
ta voix me guide dans l'à-venir,
je perçois un autre ciel là-bas.
Rien ne me fait plus peur,
ni maladie, ni amoureux, ni mort,
tout me semble possible, ma soeur.
Mourir n'est rien désormais,
vivre est compliqué mais...
vivre n'est plus qu'un délai.
Texte (c) Luciamel.
Il n'y a pas que des femmes fadistes... il y a aussi des hommes ! Alfredo Marceneiro fut l'un des premiers et sans doute le plus grand, l'un de ses successeurs est Camané, l'émotion ressentie (par leur voix, leurs thèmes qui sont différents de ceux des femmes), leur sensibilité souvent bouleversante, car fragiles ils osent se montrer... dans le fado.
j'essaierai de vous traduire tout ça prochainement... en attendant je vous laisse apprécier le genre musical...