J'aime Euterpe. L'attaquez pas...

Publié le 12 Mai 2011

 

 

 

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rue Rambuteau, il est là... tous les jours... je lui ai  demandé l'autorisation de le prendre en photo. Si vous voulez il vous écrit un poème. photo (c) Luciamel, le 11/05/2011.

 

 

 

 

Moi, j'aime les gens entiers, ceux qui gueulent, ceux qui prennent des risques de dire des conneries (et je suis bien placée dans ce Wikio-là...). Ceux qui écrivent des poèmes... et qui pensent que ça suffit à changer le monde...

 

 

J'aime Euterpe, je l'ai rencontrée à Berlin, une femme passionnée, attentive, et, surtout, voulant m'expliquer l'histoire de chaque rue, de chaque monument, de chaque quartier... patiemment. Mon amie. L'attaquez pas !!!  où vous me trouverez. L'amitié pour moi c'est sacré (ça ne m'empêche pas d'en dire des vertes et des pas mûres à mes ami(e)s, mais parce je les aime)

 

Après, vous me direz vos classements (dont vous m'affirmez que vous vous en foutez, mon oeil...), et puis vous me demanderez de ne plus venir vour déranger dans votre monde si bien rangé... Ok. Votre monde me dérange aussi (notez que je suis comme vous). 

 

Je voudrais ce soir me mettre en lien avec toute l'harmonie que normalement mes transits astrologiques me promettent... et vous dire que :


 

"C'est comme une gaieté
Comme un sourire
Quelque chose dans la voix
Qui paraît nous dire "viens"
Qui nous fait sentir étrangement bien

C'est comme toute l'histoire
Du peuple noir qui se balance
Entre l'amour et l'désespoir
Quelque chose qui danse en toi
Si tu l'as, tu l'as

Ella, elle l'a, ce je n'sais quoi
Que d'autres n'ont pas
Qui nous met dans un drôle d'état
Ella, elle l'a ... Ella, elle l'a

Elle a, ou-ou ou-ou ou-ou ou, cette drôle de voix
Elle a, ou-ou ou-ou ou-ou ou, cette drôle de joie
Ce don du ciel qui la rend belle

Ella, elle l'a Ella, elle l'a Elle a, ou-ou ou-ou ou-ou ou
Ella, elle l'a Elle a, ou-ou ou-ou ou-ou ou

Elle a ce tout petit supplément d'âme
Cet indéfinissable charme... Cette petite flamme

Tape sur des tonneaux, Sur des pianos
Sur tout ce que Dieu peut te mettre entre les mains
Montre ton rire ou ton chagrin
Mais que tu n'aies rien, que tu sois roi
Que tu cherches encore les pouvoirs
qui dorment en toi
Tu v ois ça ne s'achète pas... Quand tu l'as tu l'as"

 

(Michel Berger, France Gall).

 

 

 

Suis-je exaltée ? suis-je emportée ? suis-je hystérique (comme aiment à le dire ceux qui n'aiment pas aimer.., ou, plus simplement, qui ne m'aiment pas) ? Je suis exaltée... oui... ça c'est sûr.. Le savent tous ceux qui se sont adonnés à la musique punk-bretonne (si, si !). Histoire de les en détourner... voici du fado, ooooohhhh nonnnnnn, dites-vous... mais que savez-vous réellement du fado ? 

 

 

Cristina Branco passe à Paris dans quelques jours... je vous invite... viendrez-vous ?

 

 

 

    

 

 

 

 

 

 

 

 

Rédigé par Luciamel

Publié dans #Poésies - musiques

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L
<br /> <br /> @JEA : j'ai aimé votre débat (à Dorham et à toi) sur l'histoire, que pourrais-je ajouter à ta citation de Semprun... je sais que je connais beaucoup mieux l'Histoire du Portugal que l'Histoire de<br /> France, j'aimerais qu'Euterpe nous donne son opinion sur cette question : le sens et la valeur de l'Histoire (son utilité pour comprendre qui nous sommes, car comment se vivre sans se référer à<br /> sa propre histoire et à celle de ses ancêtres ? mais, qui sont-ils vraiment ? les nobles ? les paysans, les gueux ? de qui raconte-t-on l'histoire prioritairement ? donner la parole aux nouveaux<br /> historiens, ceux qui s'attachent comme Vigarello à une autre histoire celle du propre et du sale ou Pierre Nora et ses lieux de mémoire)<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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J
<br /> <br /> Semprun :<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> - "Je crois vraiment que c’est l’histoire qui se met en chacun de nous et nous oblige à être historique..."<br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> @tous : ça y est j'ai le titre de mon prochain billet :<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> J'aime Dorham. L'attaquez pas...<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> (ça complètera la série... "J'aime Olympe. L'attaquez pas..."  "J'aime Euterpe. L'attaquez pas...")<br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> @Dorham : je le sais bien ;))) je connais ton sens du dialogue, je connais ton humour, et ton profond respect pour autrui. Ca me désole justement que ça ne soit pas compris, et que JEA se soit<br /> senti méprisé voire diffamé... Il me semble que "votre vulgarité est affligeante" n'est pas tendre avec toi... et attaque la personne, les propos certes (jugés vulgaires) mais au-delà la personne<br /> elle-même ("votre vulgarité"). Je trouve en cela que tes réponses sont très chrétiennes ;))) (et pas crétines du tout !)<br /> <br /> <br /> <br />
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D
<br /> <br /> Ba, Lucia, je ne méprise personne, moi, je ne savais pas qu'on était ici lu par des centaines des millions de personnes au point d'avoir la capacité de diffamer entièrement et gravement une<br /> profession. Tiens, je vais m'insulter moi-même. Tous les rédacteurs sont des fainéants.<br /> <br /> <br /> <br />
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D
<br /> <br /> JEA,<br /> <br /> <br /> Enfin, vous n'avez rien contesté, vous avez simplement protesté. Essayez de démontrer en quoi l'étude de l'Histoire est réellement possible, en quoi l'objectivité en Histoire est possible,<br /> comment, si elle ne l'est pas, parvient-elle à éviter les écueils des orientations personnelles du "chercheur". Ce débat existe depuis Tite-Live. Il constitue le fondement de ce que l'on peut<br /> reprocher à Michelet. Bref, je ne diffame pas, je provoque, j'en rajoute, j'exagère, parce que je mesure par delà cette provocation l'étendue de l'étude philosophique que pose le problème de<br /> l'étude de l'Histoire.<br /> <br /> <br /> Cette méfiance de principe que j'adopte est un de mes droits inaliénables : il s'agit ni plus ni moins de la liberté de penser, et de penser sans entraves. Maintenant, vous pouvez bien penser que<br /> je suis un con : ça ne me dérange pas du tout.<br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> @Dorham... ouf, tu es revenu commenter ;))) je crois que le débat n'était, en fait, pas terminé (j'ai eu tort de m'en mêler)<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> @Julien : tu sais bien que tous les Italiens sont des maçons ;))) et Dorham est d'origine italienne, donc Dorham est maçon (en plus marié à une Portugaise, donc doublement maçon, que dis-je,<br /> fichtrement maçon), et tu as raison, un peu franc aussi (car il est né, me semble-t-il en France).<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> @JEA : je disais "chamailleries" pour les termes désobligeants qui ont pu être utilisés par les uns et par les autres, il est vrai peut-être pas par toi (pardon mais je tutoie tout le monde sur<br /> les blogs, par principe)... Je ne vous renvoie pas dos à dos... je me demandais juste si c'était possible qu'on se parle, qu'on se dise même des choses fortes, sans forcément se mépriser. C'est<br /> bien pour cette raison que j'avais écrit ce billet. Bon, j'ai peut-être eu tort.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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D
<br /> <br /> Enfin, il ne s'agit pas d'accusations, en aucun cas, seulement de la prise en considération des limites humaines, seulement de la mise en perspective que l'exactitude historique n'existe pas et<br /> qu'il se trouve pourtant un très grand nombre d'historiens pour la croire possible et même parfois, pour en faire le support de combats idéologiques. Je cite des noms si vous le voulez. Je ne<br /> hais pas les historiens, j'en ai même connu et fréquenté, et certains m'ont enseigné, il m'arrive même de lire des ouvrages historiques, mais j'éprouve envers tout ce que je lis (et je dis bien<br /> tout ce que je lis, littérature comprise) une méfiance de principe, surtout quand on affirme d'emblée y énoncer de grandes vérités.<br /> <br /> <br /> <br />
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D
<br /> <br /> Bon, JEA, vous êtes un peu collet monté, descendez donc de votre canasson. Je ne vous accuse pas du tout de racisme. Il ne s'agissait là que d'une boutade. Je ne vois pas comment vous auriez pu<br /> deviner que j'étais d'origine italienne, du reste. Vous devriez accuser aussi Socrate parce qu'il diffame l'ensemble de la profession de poète. Ou Bergson, qui ne dit pas beaucoup de bien non<br /> plus des historiens. Heureusement, ces hommes là n'écrivaient pas sur internet et on était moins procédurier en d'autres époques. Malheureusement, ils ont davantage de poids que le petit<br /> internaute sans intérêt que je suis. Gardez-donc votre énergie pour de meilleurs combats : voilà le conseil éclairé que je vous donne.<br /> <br /> <br /> <br />
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J
<br /> <br /> Pardon, il n'est pas question ici de "chamailleries". Mais d'historiens accusés ici non moins etg à répétition... de "malhonnêteté" !<br /> <br /> <br /> Selon la CNIL : "La publication sur internet de ces informations porte atteinte à la réputation de l'ensemble d'une profession".<br /> <br /> <br /> L'auteur des propos diffamatoires a montré ici la mesure de ses limites. Il tente même de faire glisser vers un pseudo racisme anti-italien la contestation de ses accusations mensongères.<br /> <br /> <br /> Par contre, en nous renvoyant dos à dos, la responsable de ce blog prend elle aussi ses responsabilités. Dont acte.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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