Moi je t'offrirai des perles de pluie...
Publié le 10 Décembre 2009
Va,
Tu as encore du chemin,
Va,
Tel est ton destin,
te lever, travailler, et soupirer.
J'ai croisé l'amour,
Oh, quel escroc
Celui-là.
J'ai vu la gloire,
Comme elle m'a bernée,
Dans mon ici-bas.
J'ai cru en Dieu,
et je l'attends toujours
Lui, là,
dans mon coeur.
Heureusement, j'ai vu la mort,
j'ai pu, par un matin de mai,
la parcourir, pour de vrai.
Alors, on ne ne me la fait plus
Ici, avant, après...
Le néant même,
Ca ne m'impressionne plus.
Sache que Dieu ne peut plus rien m'enlever.
Sache que lui et moi, désormais, on est liés.
Mes mains, mon corps, mon âme,
sont libérés de toute entrave.
Un certain Johnny se meurt,
Et les hyènes de hurler leur joie.
Leur ignorance du malheur
est la victoire de l'ici-bas.
La décence... intime,
à l'ennemi, au jour de la mort,
de respecter sa victime.
Quel qu'il soit.
Tu as encore du chemin,
Va,
Tel est ton destin,
te lever, travailler, et soupirer.
J'ai croisé l'amour,
Oh, quel escroc
Celui-là.
J'ai vu la gloire,
Comme elle m'a bernée,
Dans mon ici-bas.
J'ai cru en Dieu,
et je l'attends toujours
Lui, là,
dans mon coeur.
Heureusement, j'ai vu la mort,
j'ai pu, par un matin de mai,
la parcourir, pour de vrai.
Alors, on ne ne me la fait plus
Ici, avant, après...
Le néant même,
Ca ne m'impressionne plus.
Sache que Dieu ne peut plus rien m'enlever.
Sache que lui et moi, désormais, on est liés.
Mes mains, mon corps, mon âme,
sont libérés de toute entrave.
Un certain Johnny se meurt,
Et les hyènes de hurler leur joie.
Leur ignorance du malheur
est la victoire de l'ici-bas.
La décence... intime,
à l'ennemi, au jour de la mort,
de respecter sa victime.
Quel qu'il soit.