Publié le 18 Janvier 2010
Qu'il est loin mon pays, qu'il est loin... moi, l'oiseau migrateur égaré en vos villes l'hiver je m'y replie, l'été je jubile. Votre Palais Royal où les jeunes filles trouvent à se marier... et où dans les tilleuls taillés au carré je parviens à me dissimuler....